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Blog de twilight-fiction-cullen

Photo de twilight-fiction-cullen

twilight-fiction-cullen

Description :

Un blog parmi tant d'autres.

Je suis une grande mordue d'écriture, et j'ai toujours un petit calepin sur moi pour noter des idées.

Tous droits réservés.
Et, parce qu'il paraît plus sérieux de citer :
" © Par propriété exclusive de
l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle. "

Passez une bonne lecture =)

"J'aimerais que l'on me dise si je suis malade. Suis-je malade, docteur ? "

" Les gens disent qu'il faudrait m'enfermer, mais moi j'aime bien les gens, et j'aime bien m'enfermer. "

" Dans chaque corps torturé tous les corps gémissent. Poussés par des forces aveugles dans le même abîme, les vivants sombrent avant leur terme. Partout. "
Andrée Chedid


" Je ne veux pas guérir de cette étrange maladie que l'on appelle écriture. Elle fait battre mon c½ur quand j'y pense, elle anime mon âme, elle me fait respirer, elle réchauffe mes doigts. Ce sont les symptômes. Il faut à présent en découvrir la source. C'est possible, docteur ? "

" La page blanche. Ce virus chronique. Je ne l'aime pas. C'est horrible d'avoir pleins d'idées, de formulations quand on ne peut pas écrire, et de ne plus en avoir une seule devant son écran. De chercher les mots justes. Alors il faut cesser de penser et faire autre chose. Mais moi, j'ai pas envie de faire autre chose... "

" J'aimerais que l'on me parle. J'aimerais que l'on me distrait. Je ne veux pas penser à mon avenir. Je sais que je reste dans mes illusions. Et alors ? J'aime bien mes illusions, elles me rassurent. J'aimerais ne jamais avoir rien d'autre à faire qu'écrire, que rire avec ceux qui me sont chers, que profiter de la vie et de ses instants improbables. Mais les gens disent qu'il faut grandir. "

" Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. "
Guy de Maupassant, La Chevelure.

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  • Mise à jour : 09/03/2012 à 10:22
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Chapitre 3 : Espérances


« L'amour fraternel est plus durable ; il ressemble à la pierre précieuse qui résiste aux plus durs métaux et dont la valeur s'accroît avec les années. »
Hector Carbonneau
Extrait de Gabriel et Geneviève


Je n'aurais jamais cru ressentir une telle joie.
J'étais transportée. Complètement. Dans un autre monde.
Ailleurs. Quelque part où j'étais quelqu'un d'autre, quelqu'un de beau et de désirable. Quelque part où l'enchantement se succédait au bonheur et à l'extase, sentiments qui venaient par vagues, si bien que j'aurais pu m'y noyer.
Se noyer de bonheur... était-ce possible ?
Oui. Non. Je ne savais plus.
Mais il y a toujours une fin. Un moment de déchirure, un sentiment de perte, d'abandon.
C'était ce que j'avais ressenti lorsque nous nous étions arrêtés de danser. Mais maintenant... Oui, maintenant, je planais. J'étais dans les nuages.
Cela faisait déjà quelques heures que le cours de danse était fini, et pourtant mon cerveau refusait de penser à autre chose.
Nous étions tous restés environs une demi-heure devant le bâtiment une fois la danse finie, pour parler tout simplement. Bien-sûr, nous nous étions vus quelques fois cet été, et nous avions discutés sur msn et par sms, mais ce que cela faisait du bien d'être tous là !
Damien s'intégrait sans mal dans le petit groupe. Il me parlait surtout à moi et à Valentin, mais j'étais certaine que dans deux ou trois semaines il serait partie intégrante de la bande.
Nous étions partis aux alentours de six heures trente. Il y avait cours demain, chacun devait faire ses devoirs, prendre une douche, manger et faire dodo. Damien était resté avec moi une bonne partie du chemin, puis il m'avait demandée si je voulais qu'il me raccompagne jusqu'à chez moi. Je lui avais dit que ce n'était pas nécessaire. Il avait insisté. Avec un petit sourire, je lui avais dit que j'avais déjà un petit copain. Il avait fait les gros yeux, avait rougit, puis allait dire quelque chose – avant que je ne l'interrompe in extremis pour lui dire que c'était faux, que j'avais menti, mais que je pouvais très bien marcher toute seule. Alors il avait ri, et moi avec. Nous nous étions fait la bise, il avait déclaré « Mais c'est que tu es vraiment têtue, toi ! » avec le sourire, puis était parti.
Je clignais des yeux, essayant de retourner dans l'instant présent. Mon assiette de nouilles refroidissait, et je n'en avais mangé que la moitié – attitude qui ne me ressemblait guère.
Marc, mon frère, avait remarqué mon manège. Céline, elle, avait juste un sourire (pas discret, mais alors vraiment pas discret) scotché sur le visage.
- Quoi ? demandais-je, peut-être un peu trop sèchement.
- Mais rien ! s'exclama ma s½ur, pas du tout repentante.
Mes parents, qui jusque là n'avaient rien remarqués, se tournèrent vers nous.
- Tu ne fini pas tes pâtes ? questionna mon père en haussant les sourcils.
- Euh, si si... Je pensai juste à quelque chose...
Esquive esquive !
Ma mère ne sembla pas convaincue mais elle fit signe à mon père d'abandonner. Après tout, c'était la période « adolescente » et j'avais aussi le droit à « mon intimité ». Elle voyait bien que j'étais heureuse, donc ça ne lui posait pas de problèmes – mais si ça avait été le contraire, j'aurais eu le droit à un interrogatoire. Ce que je trouve normal, après tout.
Le dîner se termina sur la journée de ma s½ur, qui avait vu au moins, et je cite, « trois garçons beaux à en tomber ». Tout le monde leva simultanément les yeux au ciel, sauf ma s½ur qui abordait un large sourire – nous connaissions tous son léger penchant pour les garçons. A l'âge de quinze ans, ma s½ur était une serial kisseuse ; elle avait eu en tout huit « petits copains » (dont le premier à l'âge de sept ans) et avait embrassé une bonne vingtaine de « beaux gosses ». Non contente d'elle-même, elle aimait bien en blaguer. Ma mère avait protesté au début, ainsi que mon père, mais la furie ayant continuée, mes parents lui avaient fait promettre que ça n'irait jamais plus loin que des baisers. Promesse qui, évidement, fut tenue ; ma s½ur n'étais pas ainsi. Elle n'exhibait pas son corps, elle aimait juste faire tourner la tête aux garçons. Enfin... c'était Céline, quoi.
J'aidai à débarrasser et à faire la vaisselle. Je bandais mon cerveau pour qu'il ne dérape pas sur les évènements de cette après-midi. Mon frère me fit un clin d'½il quand il me tendit une casserole mouillée. Et meerde. J'aurais droit, à coup sûr, à un interrogatoire venant de sa part.
Après la vaisselle, je préparai mon sac de cours pour le lendemain. J'avais chant (deux heures, youpi), danse (deux heures aussi, et je me demandais ce que ça allait donner), et l'après-midi une heure de français, une autre de mathématiques, et deux de dessin.
Je montai ensuite dans ma chambre.
Elle était dans des tons pastels, avec du parquet et des meubles en bois clairs. De taille normale, il y faisait chaud en été et froid en hiver – quand il n'y avait pas de chauffage. Mais ce que j'aimais par-dessus tout dans cette pièce, c'était la luminosité. Une grande baie vitrée se tenait sur la moitié d'un mur.
Un autre mur était enseveli sous une tonne de photos ; il y en avait partout, sauf à moins d'un mètre du sol (les photos s'abîmait à cause des passages sinon). Il y avait des photos de moi, de Valentin, de Sophie, de Carter, de Céline, de Marc, d'Anna, de Stefan, de mes parents, de quelques autres amis, de Marine, de copines de ma s½ur, de copains de mon frères... Il y avait des photos de groupes, de paysages, de délires, de photomatons, d'animaux, de nuages, de pierres, de classe, d'arbres, de grenouilles... Il y avait des photos de fêtes, d'anniversaires, du mariage de Pénélope (une de mes cousines), de spectacles de danse, de répétitions de danse... En bref, j'avais ici, sur mon mur, exposé des images de tout et n'importe quoi. Et pourtant, j'aimais profondément ces photos. Elles symbolisaient ma vie. Tous ceux que j'aimais – et ce que j'aimais – étaient là.

Un léger toc toc à ma porte me fit sursauter. Avec un soupir de résignation, je me dirigeais vers celle-ci, certaine de découvrir mon frère.
C'était ma s½ur.
L'excitation sur son visage la trahit ; je lui refermais la porte au nez.
J'entendis un grognement de surprise et d'indignation, puis de légers coups sur la porte. Tout en levant les yeux aux ciels devant tant de bruit (elle se forçait de ne pas en faire trop pour ne pas rameuter toute la maison, mais j'entendais très bien le bruit de ses poings contre le bois), je tapotai les oreillers, puis, naïvement peut-être, descendit les volets et me mit au lit.
C'était sans compter mon frère.
Ma s½ur, toujours scotchée à ma porte comme à une bouée de sauvetage, lui raconta mon « comportement odieux » envers elle, selon ses propres termes. J'entendis Marc rigoler (c'était du moi tout craché, envoyer bouler les gens) puis les coups sur ma porte cessèrent.
Ce fut le silence qui m'inquiéta, bien plus que le bruit d'avant. Que mijotaient-ils ?
Je rendis les armes et, m'avouant vaincue, ouvris la porte.
Ils entrèrent. Ma chambre devint aussitôt plus petite. Comme je l'avais prévu, mon frangin s'appropria mon petit pouf – il l'adorait comme ce n'est pas permis et me le piquait tout le temps – et ma s½ur monta sur le lit. Je pris un oreiller et le mis par terre pour m'asseoir dessus.
- Bon, alors, vous voulez quoi ? demandais-je.
- Savoir ! s'exclamèrent les deux à l'unisson.
Nous nous regardâmes tout les trois puis nous éclatâmes de rire ; mais il me sembla que le mien frisait l'hystérie.
- Je ne t'avais jamais vue si excitée et à la fois si... loin, déclara mon frère.
Céline hocha énergétiquement la tête pour appuyer ses dires. Je les observais tout les deux. Nous faisions souvent, enfants, des sortes de petites réunions dans nos chambres le soir. C'était soit pour parler, soit pour jouer aux cartes, en bref pour être ensembles. Nous étions proches. Toujours. Nous nous disions tout, absolument tout. Mon frère nous avait parlé des bêtises qu'il faisait avec ses amis – rien de grave, mais qu'est-ce qu'on avait ris ce jour là ! – et ma s½ur avait toujours dit ses moindres pensées. Moi aussi. Mais avais-je vraiment envie qu'ils sachent qu'aujourd'hui j'avais rencontré quelqu'un, et qu'avec cette personne j'avais ressenti quelque chose, comme un courant électrique, qui m'avais permis de danser comme jamais je n'avais encore dansé ?
Oui.
Parce que je les aimais tout les deux énormément, et j'avais par conséquent envie qu'ils sachent ce qui me rendait heureuse.
Je vis sur leur visage qu'ils avaient suivis le cheminement de mes pensées. Un sourire éblouissant – mais presque involontaire, comme lorsque tout le monde chante « joyeux anniversaire » en vous regardant souffler les bougies – naquit sur mon visage. Je pris une respiration :
- Alors voilà. Déjà, le nouveau lycée. (J'avais conscience que j'évitai le sujet principal, et eux aussi, mais ils acceptèrent mon détour.) Je trouve qu'il n'est pas mal du tout, mais je l'imaginais différemment.
- Différemment, c'est-à-dire ? questionna Marc.
- Ben... on dirait un lycée normal. Je pensais qu'il y aurait une salle faîte exprès pour danser, avec une bonne sono, et tout et tout, mais en fait non. Bon, je m'emmêle. Donc, je rentre dans le lycée, et là...
- Et là, tu vois celui qui fait battre ton c½ur depuis tout à l'heure, continua ma s½ur sans plus de cérémonie.
Je lui lançais un regard foudroyant mais il ricocha sur elle ; elle était habituée.
- Je rentre dans le lycée, repris-je, et là je vois quelqu'un.
- Jackpot ! s'écria Céline en se levant pour être bien sûre qu'on la voie et qu'on comprenne qu'elle avait vu juste – au cas où on ne l'aurait pas remarqué.
Mon frère mit son index devant sa bouche et, miraculeusement, Céline alla se rasseoir sans plus prononcer un mot. J'admirais durant quelques secondes l'autorité qu'avait Marc sur ma s½ur, puis je rouvris mes lèvres :
- Il – oui Céline, c'est bien « il » – semblait aussi perdu que moi. Et je ne sais pas, mais il s'est passé quelque chose de spécial, comme un courant électrique. La journée s'est déroulée, normale. Et à ce moment, qui je ne vois pas venir vers moi ?
- Ton mystérieux inconnu, compléta mon frère avec un léger sourire.
- Exactement, approuvais-je. Et devinez quoi, ajoutais-je en souriant de toutes mes dents. (Voyant qu'ils allaient se lancer dans des déductions genre « il a mangé un grizzli lorsqu'il était chez les scouts », je m'empressai de faire cesser la devinette : ) Il est passionné de danse !
Ils affichaient tout les deux des mines ébahies, puis ils se mirent à sourire de manière incontrôlable ; leur manière à eux de me dire qu'ils étaient heureux pour moi.
- Il m'a demandé si j'allais à un cours de danse tout de suite – apparemment des gens le lui ont dits, mais comment ces personnes le savaient-elles puisque je suis nouvelle ? C'est le grand mystère – et il m'a semblé qu'il mourrait d'envie d'y aller aussi. C'était le cas. On a marché ensemble, parlé de tout et n'importe quoi – il s'appelle Damien –, et franchement... waouh !
Je commençais à ne plus m'exprimer très clairement. Les émotions me submergeaient. Mais malgré tout je continuai :
- Je l'apprécie vraiment. Il fallait le voir danser ! Il y a eu un truc. Un truc entre nous deux. Je ne sais pas ce que c'était. Une sorte de courant, chimique, électrique. Une fascination l'un envers l'autre. Je ne sais pas. (J'étais perdue dans mes pensées, et je me repris.) Je me suis sentie attirée, irrésistiblement. Et puis la musique est venue.
Je fermai les yeux pour savourer encore une fois l'effet.
- C'était étrange. Je n'avais jamais dansé comme je l'ai fait auparavant. Jamais. Je crois que lui non-plus. C'était merveilleux. Magique. Comme si un lien invisible nous reliait tout les deux. Le monde autour avait disparu !
Je les regardai tout les deux pour voir leur réactions.
- Tu es amoureuse, dit Marc.
- Ça crève les yeux, compléta Céline.
- Vous croyez ? murmurais-je, bouleversée.
Ils hochèrent la tête à l'unisson.

Mon frère s'installa en tailleur sur mon lit. Il écarta les jambes et me fit signe de monter. Je m'installai dans le creux de ses jambes et me laissai aller contre son torse. D'un bras il m'entoura la taille – pas fort, seulement pour me signifier qu'il était là et qu'il serait toujours présent, quoi qu'il advienne. Ma s½ur s'allongea et mis sa tête sur mes jambes ; je glissai ma main dans ses cheveux et les lui caressais en un geste apaisant. De sa main libre, Marc prit celle de Céline.
Chacun d'entre nous était relié avec les deux autres. Ce geste, symbolique sans que nous nous en rendions compte, signifiait que rien ni personne ne pouvait nous éloigner.
- Je serais toujours là pour toi, Lune, dit mon frère d'une vois rassurante tout en m'embrassant les cheveux.
- Moi aussi, dit doucement ma s½ur.
Et c'est ainsi, tout les trois confortablements installés sur mon lit, à 22h56, que nous nous endormîmes.
Mes parents passèrent une heure plus tard pour voir ce que nous trafiquions et, dans un élan de tendresse, prirent une photo de nous – c'est ce que nous apprîmes le lendemain matin.

« Je serai toujours là pour toi, Lune. »
Je fermai les yeux et m'endormis.



Bonjour ! Voici mon chapitre 3. Qu'en pensez-vous ? Il n'y a pas beaucoup d'action, mais est-ce potable quand même ? J'ai pensé à un titre pour mon histoire (ou du moins, la première partie) : Perdition. Vos commentaires me font toujours aussi plaisir.
Pour être prévenu, merci de laisser régulièrement des commentaires. Si il y a des lecteurs fantômes, j'apprécierai qu'ils ne le soient plus (fantômes, je veux dire, hein...).
Enfin, pour terminer, l'image représente Marc.

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#Posté le dimanche 16 mai 2010 03:34

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jesuistimide, Posté le lundi 09 août 2010 08:45

Je..je.. comment dire... JADORE ENCORE ET ENCORE ! Putain mama, ta fiction, je la relierais encore et encore ! ♥ comme ta fiction de twilight aussi est pas mal ! ( je te l'avais déjà dit il y a au moins 1 mois de sa mais c pas grave :p) JEEEEEE JADORRRRREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!


Bella-Tentation, Posté le samedi 31 juillet 2010 07:58

Treu chouuuuu . Je veux le même frère pour Noël.


Sperencia, Posté le mardi 06 juillet 2010 12:08

YO!!!!! ^^ J'ai mis le chapitre 3 mais il est plus court que les autres!! Voila!!!
A++++ Bzxxxxx!! A la prochaine!


Sperencia, Posté le dimanche 27 juin 2010 10:32

Je trouve que le gars de la photo ressemble rop a mr.end (le prof)


Sperencia, Posté le samedi 26 juin 2010 12:17

au fait je reprends du service!!


Sperencia, Posté le samedi 26 juin 2010 12:17

Yeuh, c mimi!! XD C'est un peu long quand même. Mais bien écrit. Continue comme ca bzxxx!!


twilight-ange, Posté le dimanche 30 mai 2010 13:01

j'adore tout simplement bravo !


twilight-vrai-fic, Posté le lundi 24 mai 2010 05:59

bien mais si tu refait une fic sur twilight préviens moi!


bella-edward-forever02, Posté le lundi 17 mai 2010 13:02

j' aime beaucoup vivement le prochain chapitre ;)


X-XFanFictionX-X, Posté le dimanche 16 mai 2010 09:59

mignon son frère!!!
lol
j'aime beaucoup ce chapitre!!!


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